Il n'y a pas qu'en France que nous avons quelques soucis politico-biznesso-culturels... Petit clip hilarant mais qui fait réfléchir, avec notamment Michel Rivard de Beau Dommage (c'est mieux de comprendre un peu l'anglais quand même) :
Non seulement les amis de mes amis sont mes amis mais en plus il arrive même que les amis de mes amis talentueux aient aussi du talent ! Démonstration avec le clip réalisé par la Grimmson Cie pour Think Kastendeuch dans le coquet (mais grand) pavillon de banlieue qu'on longtemps occupé les No Shangsa avant que des velléités de retour à la terre ne les éloignent de la capitale... Enjoy !
Pas grand monde présent et, comme l'affiche n'annonçait que PORD, pas mal de gens sont partis après les DDD, pensant que c'était fini. Le son a du mal à sortir de la bulle dans laquelle est enfermée la scène, bizarrement presque plus fort dehors qu'à deux mètres ; du coup sur les vidéos c'est un peu moins inaudible que d'habitude. Bonne petite soirée "entre nous" dirons-nous...
Diplomatic Drone Disaster : Première fois que je les voyais. Objectivement j'ai trouvé ça un peu confus et surchargé, le temps qu'ils se trouvent vraiment et ça promet du très bon (c'est déjà du très lourd en tous cas !)
PORD : Rien de particulier à signaler, un bon set de PORD comme ceux auxquels ils commencent à nous habituer depuis quelques mois. Ci-dessous un nouveau morceau, Out Of Cabanel, nerveux à souhait !
La salle confirme son excellente acoustique (le meilleur son que j'aie entendu pour PORD jusqu'à maintenant) et comme d'habitude tout est parfait côté accueil et esprit.
We Are The Romans : Il m'a fallu au moins deux morceaux pour rentrer dans le jeu et m'habituer à leurs boucles sans fin mais au final, sans être transcendé, j'ai pris pas mal de plaisir à la sensation quasi hypnotique qui en découle.
Kunamaka : Une semi-découverte puisque je ne les avais jamais vus en live et que les albums que j'ai ne peuvent ni résumer la diversité de leur répertoire ni rendre l'ambiance des concerts. C'est dur et drôle à la fois, parfaitement rôdé, le chant clair et profond, et le public répond en conséquence, bref on comprend de suite pourquoi ils marchent si bien...
PORD : Surprise, PORD vole la vedette à Kunamaka (juste pour rester logique dans la continuité des genres en fait), du coup pas le choix, faut assurer grave là ! Ben c'est ce qu'ils ont fait. Et comme toutes les conditions étaient réunies pour ça (son, public, motivation, ambiance...) eh bien ce fut tout simplement le meilleur concert de PORD que j'aie vu à ce jour, voilà. :-) En cadeau ci-dessous, deuxième nouveau morceau : Joyeux Mimosa (clin d'oeil au Triste Lilas de Franck Vigroux).
Ajoutons à tout ça les deux afters, à savoir vendredi soir à se finir à la gnôle à 7h du mat en écoutant de la musique de babas cools au coin du feu (merci Laurent ;-)) et se coucher samedi soir (enfin dimanche matin) à 6h pour se réveiller quatre heures plus tard en pleine dégustation oenologique et ça nous fait un très bon week-end tout ça ! :-D
18 janvier 2008. Record d'affluence au Mojomatic pour fêter la sortie de l'album No Hand Hold de Superbeatnik, disponible en CD et vinyl s'il vous plait !
Bon, on va faire bref parce que j'ai vraiment pas trop le temps de m'attarder ces jours-ci.
En résumé, l'Entonnoir est un ÉNORME petit festoche. Prog de qualité, déco soignée, bon esprit, tarif plus que raisonnable et j'en passe. On m'avait dit que Metz était une ville de merde, c'est peut-être vrai le reste de l'année mais sûrement pas pendant ces trois jours !
Seul bémol : la soirée un peu écourtée le premier soir pour cause de déroulement aux Trinitaires. Frustrant mais ça m'a donné l'occasion d'une bonne zone noctambule avec Ben et Béné dans les rues de Metz...
Côté perso : j'ai perdu, le deuxième soir, l'étui et le pare-soleil de mon appareil photo (appel à celui ou celle qui les a retrouvés si tu passes par là...) et fait cadeau à la SNCF d'un billet de train à 80€ pour cause de non réveil à l'heure mais ce fut l'occasion de rentrer à Montpellier avec le Marvin bus, panne d'essence sur l'autoroute à la clé... Roack Ain Roall !!!
Concernant les groupes, je ne vais pas m'étaler, vous n'avez qu'à vous faire une opinion en allant les écouter sur leurs pages respectives ou mieux, en live, on va donc adopter le principe des petites étoiles (de 0 à 5) :
Jour 1 - Funk Police : j'ai pas accroché plus que ça mais c'est toujours dur d'ouvrir un festoche, donc *** - Ada Nuki : première grosse claque du festival. Une basse, une batterie, et on arrache tout ! **** - Gentle Veincut : j'ai toujours du mal avec l'allemand quand même... *** - Ben et Béné : électro-punk-nawak qui secoue le dancefloor. Même si Béné est troooop craquante ce sera *** - Stinky Squirrels : quasiment pas vu, donc pas de note. Pour l'ensemble de la soirée : *** + * (1 étoile de plus pour les 2 ou 3h passées avec Ben et Béné ensuite, du grand n'importe quoi, comme j'aime...)
Jour 2 - Chantal Morte : pas vu (mais incapable de me rappeler pourquoi...) mais vu au festival UMP à Thiers, j'avais pas vraiment accroché. - Monosourcil : excellent mais je m'attendais à plus lourd vu ce qu'on m'en avait dit. *** - Graffen Völder : à revoir absolument à la première occasion (et merci pour le CD, c'est rare que ce soit presque aussi bon en studio qu'en live) **** - OvO : décidément les duos ça fonctionne bien ! Mention spéciale pour la mise en scène et la fusion avec le public. *** - DJ Shock and Awe : ben merde, j'étais où là encore ??? Euh... un peu perché je crois, comme beaucoup d'autres :-D Pour l'ensemble de la soirée : *** + * (1 étoile de plus pour l'état dans lequel j'ai fini)
Jour 3 - Hélène Géhin : pas vue pour cause de tapas (faut bien se nourrir un peu...) - 37500 Yens : deuxième claque du week-end ! **** - Don Vito : invité surprise qui joue dans le hall d'entrée. Troisième claque du week-end ! **** - J'm'en Fous : quatrième grosse grosse claque ! En plus d'être bons et gras ils sont drôles et photogéniques ! Et je parle même pas de leur adoraaaable batteuse qui tape, mais qui tape !!! ***** - Marvin : bon, encore une fois je vais pas être objectif mais faut bien avouer que c'est le seul groupe qui a vraiment fait bouger le public, pogos et slams en puissance ! Avec en plus le bonheur de découvrir un nouveau morceau. Et pour voir évoluer le set depuis quelques temps je peux dire que ça prend encore et toujours de l'ampleur !!! ***** - DJ Shoes vs DJ QB : un peu de kitch, un peu de nostalgie, beaucoup de références oubliées ou non, ambiance clubbing et sourires partout ! ***** Pour l'ensemble de la soirée : *****
Et pour l'ensemble du festival : **** Je resigne pour l'année prochaine !!!
Ci-dessous les photos et vidéos (désolé pour Gentle Veincut et Ben & Béné mais je suis tombé en panne de batterie). A noter que j'ai jamais eu un son aussi pourri sur les vidéos, z'avez qu'à couper le son si ça vous gène.
C'était hier la soirée découvertes des jeunes talents de Lozère. Quatre groupes étaient prévus, nous n'en découvrirons que trois, le dernier ayant splitté (à ce qu'on m'a dit). La salle paraissait immense tant le public était peu nombreux, gâchant quelque peu l'acoustique... Public très jeune, de surcroit, donnant un peu l'impression d'être à la fête de fin d'année du lycée (parents y compris). Personnellement, j'ai surtout (re)découvert que moins le concert est bon et plus on finit bourré (au rythme d'une bière par morceau pendant les deux premiers groupes...).
Kerozen : Des petits jeunes qui savent jouer, c'est indéniable, mais qui ont encore beaucoup à travailler sur les compos, les textes, et leur présentation. Enfin, ils nous auront bien fait sourire (sans méchanceté bien sûr) en nous laissant l'impression globale qu'on venait de voir les débuts d'Iron Maiden... A encourager...
Pentamonium : Le black metal c'est déjà pas vraiment ma tasse de thé mais quand en plus l'ingé-son semble faire exprès de pourrir le set, c'est sans espoir. Dommage pour le guitariste rendu aphone, et dont c'était le dernier concert avec le groupe... (sabotage ?)
No Switch : Je les avais raté lors de leur passage à la fête de la musique mais on m'en avait dit pas mal de bien. C'est confirmé. Leur musique se promenant entre reggae et métal est convaincante, tout comme leur reprise de I Wanna Be Your Dog. Rafraichissant...
Marvin : Un set bien trop court, sans rappel, mais toujours efficace. Le public compense sa faiblesse en nombre par son énergie et le combo, pas stressé pour un sou, prend quelques libertés (notamment celle de nous gratifier d'un ou deux pains, mais j'aime bien ça, moi, ça fait partie des plaisirs du live).
On terminera la soirée en vidant proprement et intégralement le bar, et j'avoue que je devais pas être beau à voir à la sortie :-D J'ai tout de même réussi quelques vidéos moins chaotiques que celle du Point Éphémère, heureusement :
Discose :
Immigrant Song :
Pilly (extrait) :
Discudanse :
Très peu de photos cette fois (voir ici) car c'était la dernière fois que j'utilisais l'appareil de merde qui m'a fait faire toutes ces horreurs lors des derniers concerts, donc pas trop motivé pour shooter. J'attends la livraison imminente de celui qui permettra de meilleurs résultats pour les prochains évènements.
En arrivant sur place vers 17h j'ai raté la première partie du programme de la journée. Le lieu est plutôt sympa, avec une petite terrasse presque ensoleillée au bord du canal Saint-Martin. L'ambiance est quand même vachement bobo mais bon, ça m'amuse plutôt qu'autre chose, n'ayant pas à subir ça à longueur d'année (au moins un avantage à habiter un trou perdu).
Pour moi les hostilités démarrent donc à 19h30 avec la perf réalisée sur un montage tiré du film Les Religions Sauvages. Bien trash tout ça. Tant au niveau du son que des images. On dirait que le batteur a des baguettes en plomb tant il tape fort sur la batterie de Greg (Marvin). Au moins elle sera chaude pour la suite celle-là ! On s'en est donc pris plein les yeux et les oreilles pour pas un rond, et certains ont même dû ressortir assez mal à l'aise de cette orgie païenne...
Ensuite... ben je suis passé en mode "people" et ai donc raté les deux groupes qui ont suivi. Retour dans la salle pour les Skeletonz, qui me laissent indifférent.
Et ceux qu'on attendait tous arrivent enfin : Marvin. Je venais de découvrir quelques jours avant, sur YouTube, les vidéos du concert du 29 juin au Subsonic de Montpellier et ce set avait l'air tellement énorme que je regrettais profondément de ne pas avoir connu un concert de Marvin de cette ampleur. Eh bien c'est presque chose faite avec celui-ci. Ça joue plus fort et plus vite que d'habitude, on a droit à la reprise de Girl U Want de Devo (voir la version au Subsonic ici) et le public répond présent ! Voici d'ailleurs ce que ça donne quand on essaye de filmer dans un début de pogo :
On ne restera pas pour le dj set, restant ainsi sur cette impression que décidément Marvin est bel et bien le plus-grand-petit-groupe-du-monde et que merde ça valait le coup de me taper 8h30 de train pour être là !
Ben voilà une soirée qu'il fallait mériter ! Le lieu s'appelle Secret Place et c'est pas pour rien... Deux heures à tourner dans la zone industrielle de Saint Jean de Vedas en passant dix fois devant l'entrée de la minuscule impasse au fond de laquelle a lieu la grand messe de ce soir. Et encore, pour trouver il a fallu téléphoner jusqu'à Paris pour se faire communiquer un numéro de téléphone nous indiquant la route (merci Raph au passage) !
Enfin, après un petit pique nique à l'arrache sur le parking nous pénétrons dans l'antre. L'endroit respire le rock à plein nez. La scène en angle, un flipper et un baby à l'entrée, un vrai bar avec un vrai comptoir, un écran diffuse un live des Stray Cats, ça s'annonce bien. Panoramique :
Après les Stray Cats un petit peu de Clash, puis NoMeansNo en fond sonore, et le premier groupe s'installe...
DIY : Bon, là je vais vous refaire le coup du "j'ai pas aimé donc je vais pas m'attarder". Ben oui je préfère ça plutôt que de dire du mal de gens que je connais pas et que peut-être je trouverai géniaux dans quelques mois (c'est déjà arrivé). Je dirais juste que ça manquait d'âme et que l'absence de batteur y est sûrement pour beaucoup (ça fait pas tout les ordinateurs non plus).
Marvin : Égaux à eux-même pour mon plus grand plaisir, malgré l'apparente fatigue de l'un des trois (mais je dirai pas qui). Les instruments souffrent toujours autant, les silences sont toujours ponctués des "attends, attends !" d'Émilie qui tricote les câbles du Korg, les nouveaux morceaux ouvrent de nouveaux horizons, plus tordus, le tout servi par le son nickel de cette salle où ça envoie fort mais propre. Et quand je vous disais que Marvin reprenant Led Zep ça valait le détour, la preuve en images (et son pourri mais on s'en rend même pas compte !) :
31Knots : Ne connaissant pas et en ayant écouté quelques titres avant de partir, on s'attendait à se faire chier royalement après le set de Marvin. Certes les compos semblaient intéressantes mais tellement lisses et proprettes... Eh bien c'est tout le contraire qui arriva ! Ils nous en ont mis plein la face ! Aucun doute là-dessus : 31Knots est un groupe de scène. Un show énergique, violent, fun, un chanteur qui passe la moitié du concert dans le public, un bassiste aux airs de Pierrot lunaire, et un batteur qui frappe fort, très fort ! Entre lui et Greg (Marvin) ça a largement rattrapé l'absence de batteur dans DIY ! La sueur a coulé et on en redemande ! Malheureusement je n'ai pas filmé durant leur passage mais voici un petit exemple de ce que ça a donné à Tulle il y a 6 mois :
N'hésitez pas à faire un tour sur YouTube, il y a surement quelques vidéos plus parlantes que celle-là...
Petit tour en backstage pour conclure et découvrir Joe, le chanteur, sous un autre jour, surprenant... l'espèce d'animal enragé a désormais l'air d'un fils de bonne famille américaine des années 50, calme, posé, souriant. Alors que tout le long du concert on se demandait ce qu'ils avaient pris (une goutte de sang perlant de son nez à un moment nous ayant conforté dans nos convictions) ils ont l'air parfaitement straight soudainement ! Mais pas insensibles aux bonnes choses puisque Joe apprécie particulièrement la vodka, apparemment rares aux US. Ça tombe bien, j'ai une bouteille de Zub (enfin pas tout à fait de la Zub, une autre marque à l'herbe de bison) a laquelle il fera honneur deux ou trois fois. Il est même très étonné qu'on en trouve à Carrefour ; à mon avis il a dû dévaliser le supermarché dès le lendemain, voyez donc comme il zyeute goulument la bouteille :
Voilà, en résumé on a découvert un lieu et un groupe énormes, Marvin va de mieux en mieux, on retournera donc voir tout ça à la première occasion... (pour Marvin ce sera dès samedi prochain à Paris, Point Éphémère)
No Shangsa confirme à la fois qu'ils sont très bons et qu'en tant qu'organisateurs ils savent choisir les groupes qui les entourent. Si la première fois que je les ai vus il m'en était resté la désagréable impression d'être passé à côté de quelque chose pour cause d'une trop grande proximité avec le comptoir, si la deuxième fois je fus pleinement satisfait de combler cette frustration, vendredi j'étais enfin en terrain connu pour apprécier toute la richesse de leur musique sans avoir à me torturer le cerveau pour la comprendre. Leur palette sonore est en effet si étendue, imbriquant avec brio les couleurs et les ambiances, que chercher à définir leur style est un exercice non seulement délicat mais qui nuit grandement au plaisir de l'écoute (en même temps que ça fait prendre conscience de la pauvreté de son vocabulaire...). Pour apprécier No Shangsa il suffit d'ouvrir grand ses esgourdes et de les laisser les remplir sans réfléchir. Et ça marche ! Seule déception : ne pas avoir pu faire l'acquisition de l'album sur place. On se contentera donc encore un peu des morceaux disponibles en ligne (c'est par là).
On enchaine ensuite sur Diatrib(a). Vous avez dit noise ? Alors eux, par contre, ils ont vraiment réussi à me torturer le cerveau ! D'ailleurs je n'ai pas dû être le seul à en juger par la vitesse à laquelle ils ont vidé la moitié de la salle (phénomène dont, d'après leurs dires, ils sont assez coutumiers). Et pourtant le pouloupi-core est une expérience à vivre, tant avec les oreilles qu'avec les yeux et ceux qui ont préféré aller picoler dehors pendant leur set devraient s'auto-flageller avec un fouet clouté trempé dans le purin d'avoir raté ça. Mais s'il m'a fallu voir trois fois No Shangsa avant d'être à l'aise dans leur univers, je pense qu'il me faudra voir cinq ou six fois Diatrib(a) pour arriver au même résultat... Ces types sont fous, pourvu qu'ils le restent !
Et comme sur tout bon gâteau il faut une cerise, la soirée s'achève avec Marvin. Bon, là je ne sais pas s'il est vraiment nécessaire de rappeler ce que je pense d'eux hein ? Enfin pour ceux qui n'auraient pas suivi c'est tout simplement le plus grand petit groupe de l'univers ! (j'ai déjà dû dire ça quelque part mais tant pis). Petit groupe c'est parce qu'ils ne sont que trois mais ça ne les empêche pas de faire du bruit pour dix. Et quel bruit !!! Le concert de Thiers avait été mon meilleur moment marvinesque depuis que je les suis, principalement en raison d'un public plutôt... vivant ce jour-là, mais celui-ci a failli le détrôner. Pourquoi je ne sais pas vraiment. Peut-être à cause de ce son bien crado mais cependant équilibré qu'ils avaient en début de set mais qui a malheureusement (à mon goût) été rectifié ensuite. Peut-être aussi parce qu'on a eu l'honneur d'un nouveau morceau avec tous les couacs propres à une répétition publique, et là on se souvient que les Marvin sont des êtres humains, si, si... et des êtres humains qui transpirent (voir les photos ci-dessous) et qui donnent tout dès la mise en butée des potards ! Et on atteint l'orgasme rock'n'rollesque lorsque Led Zep vient s'incruster dans la setlist... mais merde, pourquoi je ne me souviens pas de cette reprise à Thiers ??? En fait ça doit être parce que quand Marvin reprend Led Zep ben c'est plus du Led Zep, c'est du Marvin ! Et maintenant rendez-vous le 10 novembre à Marvejols (putain c'est loiiiiiin !!!)
Donc voilà, si vous aviez pas compris ce fût une bonne soirée, raisonnablement (?) arrosée, et encore une fois ça valait le coup de faire des bornes !
Ah si, juste un truc quand même : cloisonner la salle au milieu quand elle est pas pleine ce serait pas mal pour le son...
